"Quand tu es
près de moi,
Cette
chambre n'a plus de parois,
Mais des
arbres oui, des arbres infinis,
Et quand tu
es tellement près de moi,
C'est comme si ce plafond-là,
Il
n'existait plus, je vois le ciel penché sur nous...
qui restons
ainsi,
Abandonnés tout comme si, ..."